Terroriser, culpabiliser et diviser
Chez
nous, on dit souvent « qu’un chien ne change jamais sa manière de s’asseoir ».
Ainsi selon Macron lui et les siens c’est-à-dire ces milliardaires qui ont semé
misère et désespoir aux 4 coins du globe, seraient en guerre (1). Le même
Macron qui dit que la « bête de l’évènement » (2) serait là. Qui dit
guerre dit lourds sacrifices et renoncements à consentir pour la « victoire ».
Ainsi ce cher président et sans doute pas que lui perçoit la lutte contre une maladie
comme une guerre. Pour ne pas comprendre que ce mot est lourd de sens, il faut
méconnaître l’esprit tordu des politiciens et ne pas savoir ce qu'est une guerre et les moyens que l'on emploie pour la remporter. Moi, ce que je perçois c’est qu’effectivement
les classes dirigeantes, notamment les fameux 1% (ceux dont on dit qu'ils sont plus riches que plus de 4 milliards d'humains) sont en guerre contre la
liberté et l’indépendance des citoyens et pour se faire ils utilisent une
tactique plus que rodée à savoir « Terroriser, culpabiliser et diviser »
pour régner bien sûr.
TERRORISER
Qui
pourrait nier que depuis des mois les médias mainstream (grand public)
terrorisent dans les chaumières avec une propagande que l’infâme Goebbels n’aurait
pas reniée. Ce virus serait extrêmement contagieux et tuerait les gens dans des
souffrances atroces. A en croire les médias et leurs experts, sans oublier les
politiciens, ce virus serait un fléau tel que ceux décrits dans le livre d’Apocalypse. Un virus digne des pires cauchemars des virologues. Les morts devaient se compter par millions (ce serait étonnant que ce soit le
cas) et il n’y aurait aucun remède à ce jour. Que le reconnu internationalement
professeur Raoult, Didier de son prénom, dit que la combinaison
hydorxychloroquine et Azithromycine pourrait si administrée tôt avoir un effet
remarquable n’ébranle aucunement les certitudes de cette horde enragée chargée
de nous terroriser. Ainsi l’homme a été diabolisé et on a tenté (en vain) de le
discréditer auprès du grand public français. Lui-même est surpris du délire autour de ce médicament qu'est la chloroquine (3). Non, selon ces gens il n’y a pas de
remède fiable et peut-être que seul le vaccin serait efficace. Et bien sûr certains
milliardaires comme Bill Gates sont pour ce vaccin. Qui (sur)vivra, verra. Mais en attendant cette « potion
magique » le seul moyen de se prémunir du virus serait les fameux gestes-barrières (4). Et ceux qui n’appliqueraient pas ces fameux pour ne pas dire miraculeux gestes seraient à mots à peine voilés des criminels.
CULPABILISER
Pour
empêcher la circulation du virus il faudrait se laver les mains régulièrement,
porter des masques (à savoir si l’efficacité de ceux-ci a été démontrée ce dont
certaines personnes doutent (5)) et appliquer la distanciation sociale entre
autres (d’ici à ce que l’on nous présente puis impose d’autres mesures
draconiennes et gestes contraignants). Il serait irresponsable voire criminel de ne pas appliquer ces
mesures. Il faut aussi isoler les personnes fragiles notamment les personnes
âgées ou les personnes souffrant de maladies chroniques capables de déprimer le
système immunitaire. Que ces personnes âgées aient besoin de chaleur humaine n’entre
pas en ligne de compte ! Vous avez dit « sacrifices » ? N’oublions
pas le fameux confinement qui selon certains a eu des conséquences économiques
néfastes mais c’est le prix à payer pour « sauver des vies ». Et les
médias et leurs experts encore une fois matraquent sans cesse qu’il faut
respecter ces mesures même actuellement où l’épidémie semble s’estomper en France
notamment. Mais nous dit-on l’épidémie notamment en France peut reprendre à
tout moment. Et comme l’on s’en doute, ces mesures dites barrières ont un effet
désastreux sur les rapports sociaux.
DIVISER
Certaines
personnes s’évitent car ayant peur d’être infectées. On ne peut plus se saluer,
se faire des accolades, s’embrasser et même se tenir côte à côte. On ne peut
plus se retrouver pour des évènements heureux (mariages, baptêmes) ou
malheureux (funérailles) qui sont la manifestation des liens forts qui nous
unissent. Vu que tout le monde doit se masquer vous pouvez dépasser un proche
sans le reconnaître. Au final nous deviendrons de parfaits inconnus puisqu’on
nous demande de nous méfier de tout le monde. Et vous vous en doutez, certains
esprits faibles, terrorisés par les médias n’hésiteront pas à dénoncer voire agresser les gens
qui ne vont pas respecter les sacro-saintes mesures-barrières. L’étoile jaune n’est
plus loin… Certains ont tellement peur qu’ils ne sortent plus de chez eux (6). Mais
nous le savons tous, la peur n’est jamais bonne conseillère. La question que
certains devraient se poser est de savoir est-ce que nous allons continuer à
vivre et est-ce que nous pouvons continuer à vivre ainsi.
PRISONNIERS
Allons-nous
poursuivre dans cette logique qui vise à nous isoler les uns des autres ? Chez nous on dit de
manière vulgaire : « Il n’y a jamais un sans deux ». Même
si cette épidémie passe et qu’il n’y a plus de cas « positifs », les
graines de la terreur ont été semées. Il n’est pas sûr que les choses redeviennent
comme avant et dramatiquement certaines personnes ont commencé à l’accepter.
Mais qu’ils se posent la question, pourront-ils vivre ainsi ? Pourront-ils
vivre dans la peur les uns des autres y compris de leurs proches ?
Pourront-ils ne plus aller à la plage, au cinéma, au restaurant et dans des
fêtes familiales. Pourront-ils avoir peur de vivre tout simplement ? Les médias parlent de reconfinement parfois, ce qui veut
dire que ces gens ont cette idée morbide à l’esprit. Il n’y a pas de fumée sans
feu !
DIVISER
POUR RÉGNER
Oui
« le chien ne change jamais sa manière de s’asseoir » et ces
puissants milliardaires veulent accroître leur domination. Chaque crise de ce
type est une occasion pour eux d’avancer dans leur agenda. Naomi Klein avait en
son temps écrit « la stratégie du choc » (7). Ces gens profitent d’un
choc pour faire passer des lois à leur avantage. Que choc soit un attentat terroriste ou une épidémie. Ces gens en vérité ne perdent jamais le nord. Et pour se faire ils disposent
d’experts et de médias aux ordres. On demande aux citoyens de se soumettre à
certaines autorités et d’accepter pour leur « bien » certaines
mesures. Que la vie de ces citoyens commencent à ressembler à des vies de
prisonniers est nécessaire pour leur sécurité et pour celle de leurs proches. Comme Madeleine Albright avait dit que la mort de
500 000 enfants irakiens était nécessaire (8). Allez- y savoir ce que ces
gens vont trouver « nécessaire » à l’avenir pour notre « bien ».
Abraham Koffi
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